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Somnolence au volant sans s’en apercevoir : jusqu’à 2 minutes 30
La somnolence au volant est la première cause d’accident sur les autoroutes (1 sur 3), devant l’alcool (1 sur 6) et la vitesse (1 sur 10), selon « l’Argus », qui, dans son numéro à paraître le 1er juillet, relate une expérience montrant qu’on peut dormir pendant plusieurs dizaines de secondes sans s’en rendre compte.
Un reporter du journal a fait le trajet Paris-Nice (930 km) bardé d’électrodes permettant d’enregistrer ses gestes et ses états de veille ou de somnolence, mises en place par le Centre médical veille-sommeil (CMVS) à Paris. Il avait passé une très bonne nuit et a respecté les consignes d’usage : pause toutes les deux heures, limites de vitesses, déjeuner léger, etc.
Cela ne l’a pas empêché, selon les enregistrements, de s’endormir huit fois au volant, sans s’en apercevoir, pendant des périodes allant de 30 secondes à 2 minutes 30 et, au total, pendant 11 minutes. Il a certes ressenti de la fatigue à plusieurs reprises, mais ce n’est pas aux mêmes moments.
Toujours selon « l’Argus », qui renouvelle les conseils de prudence au moment des départs en vacances, conduire en état de somnolence peut allonger le temps de réaction du conducteur de 650 millisecondes, ce qui correspond, à 130 km/h, à un parcours de 23 mètres.
La somnolence au volant est la première cause d’accident sur les autoroutes (1 sur 3), devant l’alcool (1 sur 6) et la vitesse (1 sur 10), selon « l’Argus », qui, dans son numéro à paraître le 1er juillet, relate une expérience montrant qu’on peut dormir pendant plusieurs dizaines de secondes sans s’en rendre compte.
Un reporter du journal a fait le trajet Paris-Nice (930 km) bardé d’électrodes permettant d’enregistrer ses gestes et ses états de veille ou de somnolence, mises en place par le Centre médical veille-sommeil (CMVS) à Paris. Il avait passé une très bonne nuit et a respecté les consignes d’usage : pause toutes les deux heures, limites de vitesses, déjeuner léger, etc.
Cela ne l’a pas empêché, selon les enregistrements, de s’endormir huit fois au volant, sans s’en apercevoir, pendant des périodes allant de 30 secondes à 2 minutes 30 et, au total, pendant 11 minutes. Il a certes ressenti de la fatigue à plusieurs reprises, mais ce n’est pas aux mêmes moments.
Toujours selon « l’Argus », qui renouvelle les conseils de prudence au moment des départs en vacances, conduire en état de somnolence peut allonger le temps de réaction du conducteur de 650 millisecondes, ce qui correspond, à 130 km/h, à un parcours de 23 mètres.
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